Karlovy Vary 1/2 (République Tchèque) - Poème : 1 animal de compagnie - Merci Maria & Lena - Recette : Porc exotique
Bonsoir mes amies (is). Comment allez-vous ? Moi c'est le pied ih ih ih, pourquoi ?
Parce que mon message de ce soir 28 février 2011, c'est la quille pour moi, la retraite bien méritée, yés, au revoir le monde du travail, ayant commencée à travailler toute jeune, lol ! enfin plus de temps pour moi, je suis heureuse. Mon message est préparé à l'avance et quand je vous écris je suis encore pour 2 semaines dans le monde du travail, mon boulot : secrétaire comptable dans le bâtiment, voilà, voilou, je vous laisse découvrir mon message, merci pour vos adorables messages, vos visites et bienvenue sur mon blog.
J'ai la chance d'avoir des amies (is) qui voyagent et qui gentiment me font parvenir leurs superbes photos qui me permettent de voyager virtuellement et de vous permettre de voyager virtuellement avec moi. Merci à Agnès et Alain qui il y a quelques temps étaient en vacances à la Réunion (en short et en tong) et qui sont retournés en métropole chez eux pour partir ensuite au froid emmitouflés et dans la neige, mais que c'est beau, voici 1/2 les photos de leur voyage à KARLOVY VARY (République Tchèque)
Superbes chevaux dans la neige
Chantons sous la neige !!!
Regardez comme ils sont beaux ces pigeons et heureux d'être portés (vous aussi mes gentils z'humains vous êtes beaux et les pigeons réchauffent vos tites mimines, lol !)
Ci-dessous de splendides photos de bâtiments très grands et sous la neige c'est féérique !
Karlovy Vary (Karlsbad en allemand) est une ville et une station thermale située dans la partie occidentale de la République tchèque. La ville doit son nom à Charles IV, qui a visité le lieu dans les années 1370. Elle est historiquement célèbre pour ses sources d'eau chaude (12 sources principales et environ 300 secondaires), la plus grande et la plus chaude (73 °C) étant Vrídlo (der Sprudel en allemand) et pour sa rivière à eau chaude, la Teplá qui se jette dans l'Ohře à cet endroit.
La ville est peut-être mieux connue aujourd'hui pour son festival de cinéma international. Karlovy Vary est aussi l'endroit où la fameuse liqueur Karlovarská Becherovka est produite et mise en bouteille.
La légende de la ville raconte que le roi de Bohême et empereur Charles IV du Saint-Empire chassait un cerf dans la grande forêt des alentours. Étant acculé au bord d'une falaise, l'animal choisit de sauter dans le vide pour échapper aux chasseurs. A l'endroit où il fit son ultime bond, jaillit une source thermale. Le roi s'aperçut ainsi de la richesse de la vallée et décida d'y fonder une ville.
Charles IV accorda une charte à la ville le 14 août 1370 laquelle prit à cette date le nom même de ce souverain. On utilisa d'abord les sources thermales pour les établissements de bain, puis au XVIe siècle pour débiter une eau minérale. Les premières concessions de sources furent consignées par écrit en 1522.
Le 9 mai 1582, la ville fut inondée par une crue de la rivière Tepla, puis le 13 août 1604, elle disparut presque entièrement dans un incendie. Largement endommagée au cours de la Guerre de Trente Ans, la ville ne se reconstruisit que très lentement. En 1707, l'empereur Joseph Ier lui accorda tous les privilèges d'une « ville d'empire ». Les droits sur les bains furent institués à l'occasion de la visite du tsar Pierre Ier de Russie en 1711 et 1712. La première institution municipale de cure thermale fut édifiée cette même année 1711. Un nouvel incendie en 1759 détruisit à nouveau près de la moitié de la ville. L'intérêt des cures thermales fut établi scientifiquement par les travaux du Dr. David Becher, auteur d'un traité sur l'institution des bains de Karlsbad où il montrait l'intérêt des sels minéraux dans l'eau thermale. L'état autrichien introduisit en 1795 un impôt particulier sur les cures thermale (Kurtaxe), afin d'accélérer la reconstruction de la ville.
La ville de Karlsbad s'acquit une triste réputation à l'occasion de la Conférence de Karlsbad en 1819, conclue entre le chancelier autrichien Metternich et les États de la Confédération germanique : les clauses des décrets de Karlsbad passés entre les signatures portaient sur la censure de la presse et la répression des manifestations libérales, vivaces dans des pays qui se relevaient d'une guerre de libération contre la France.
Le thermalisme permit à la ville de prendre enfin son envol. Le nombre de visiteurs passa de 134 familles en 1756 à 26 000 curistes à la fin du XIXe siècle. C'est alors un lieu mondain international, Clemenceau s'y rendant par exemple chaque année. En 1911, ce chiffre était de 71 000. C’est de cette époque dorée que date la plupart des bâtiments significatifs de la ville tels la colonnade dite de la « source du moulin » conçue par l’architecte Josef Zítek qui avait déjà réalisé le théâtre national de Prague ou bien encore le Grandhotel Pupp, une époque marquée également par la présence de nombreux visiteurs russes qui firent bâtir une église sur le modèle de la cathédrale Saint-Basile de Moscou.
La Grande guerre mit brutalement fin au tourisme, crise qui perdura jusqu’à la chute de l’empire austro-hongrois en 1918. Peuplée majoritairement d’Allemands, Karlovy Vary et sa région fut rattachée à la nouvelle Tchécoslovaquie par le Traité de Saint-Germain. Ce qui entraîna des troubles entre les populations allemande et tchèque. Le 4 mars 1919, une manifestation allemande se termina par la mort de six Allemands, tués par les troupes tchèques. Cet affrontement larvé entre les communautés ne s’acheva que par l’annexion en 1938 de la région des Sudètes par l’Allemagne nazie et ensuite par l’expulsion en 1945 de la majorité de la population germanophone.
A la libération, Karlovy Vary reprit son statut de ville de villégiature, devenant le centre de récréation de la nomenklatura communiste. L’activité thermale reprit ainsi toute l’année et en 1968 fut organisé pour la première fois le festival du film de Karlovy Vary.
POEME
UN ANIMAL DE COMPAGNIE
Il est prouvé que lorsqu’on a vieilli
On se sente seul, que parfois on s’ennuie
Il existe des moyens de gérer notre vie
Peut-être avoir un animal de compagnie
Ça pourrait être un chat, ou même un chien
Un poisson rouge, une perruche, ou un serin
Ce qui importe serait de l’aimer
Et de bien vouloir nous en occuper
Il pourrait s’appeler Coquine, ou bien Coquin
Le choix de son nom vous appartient
Vous pourriez alors lui parler, l’écouter
Bouger, vous auriez une vie à partager
Coquine adopterait votre routine
Coquin vous montrerait qu’il est très bien
Si votre trésor d’ailleurs était heureux
Il se montrerait très affectueux
Il voudrait que vous le brossiez
Vous lècherait pour vous remercier
Si vous essayiez vous l’adopteriez
Vous ne pourriez plus vous en passer
Ses gestes vous rappelleraient votre
jeunesse
au moment ou vous êtes plein
de tendresse
Texte Claude Marcel Breault
Ci-dessous le délicieux gâteau au chocolat que ma fille a fait pour mon anniversaire,
merci ma chérie, c'était délicieux !
Merci à ma généreuse et adorable Dame de Coeur Maria
Il y a quelques temps, sur son magnifique blog, j'ai gagné un très beau cadeau fait avec ses doigts de fée, un joli sac plein de douceur, de finesse et ma Maria a fait parvenir dans mon colis, en plus du cadeau que j'ai gagné, un beau coeur et une adorable carte pour Dany ma tite puce Réunionnaise, ainsi qu'un autre magnifique coeur et un petit coeur adorable et une carte sublime pour moi en plus de mon cadeau. Il y avait également dans mon colis une très belle carte d'une autre artiste aux doigts de fée Léna (je vous en parle plus bas). Voici le contenu du beau colis de ma Maria pour Dany et pour moi à l'occasion de mon anniversaire :
De MARIA pour DANY ci-dessous :
De Maria pour moi cadeau ci-dessous que j'ai gagné sur son blog :
De MARIA pour mon anniversaire ci-dessous
Dans le colis de Maria il y avait une carte de son amie Léna pour mon anniversaire
Merci ma douce Léna pour ta sublime carte ci-dessous pour mon anniversaire
Merci mille fois Maria et Léna et mille bisous
Recette pour 2 personnes
- 200 g de porc fermier
- 5 g d'ail
- 0,3 g de laurier
- 45 g de sauce soja
- 25 g d'huile d'olive
- 190 g de poivrons verts
- 100 g d'oignon
- 20 g de beurre allégé
- 100 g de pomme rouge
- 25 g de sucre semoule
- 150 g d'eau
- 750 g d'eau
- 3 g de sel
- 300 g de riz basmati
- 100 g de crème épaisse
- 2 g de persil
Attention ne pas mettre trop de sel, sans avoir goûté la sauce, car le soja est très salé.
PRÉPARATION :
Préparons les oignons...Inciser
l'oignon verticalement, puis horizontalement. Émincer
perpendiculairement aux incisions verticales et horizontales, couper en
lamelles.
Réserver.
Préparons l'ail...Appuyer sur la racine de chaque gousse sur la planche, avant d'éplucher.
La tige intérieure doit être enlevée appelée germe, elle est indigeste.
Éminçons l'ail...Placer la gousse côté plat, pratiquer deux ou trois entailles et émincer selon la taille désirée.
Préparons les poivrons...Laver, couper la queue, séparer en
deux dans le sens de la longueur, débarrasser les pépins et l'indigeste
membrane blanche à l'intérieur, tailler en lamelles fines.
Préparons les pommes...Evider le centre, éplucher avec un couteau économe. Couper les pommes en lamelles fines.
Préparons la marinade...Couper le porc en dés pas trop gros.
Disposer le porc, dans un saladier avec l'ail, le laurier et la sauce soja.
Mélanger, laisser mariner au réfrigérateur
Prenons une poêle... Faire revenir
dans l'huile d'olive, les poivrons et l'oignon jusqu'à ce qu'ils soient
presque transparents, mais encore légèrement croquants.
Prenons une casserole... Faire fondre le beurre à feu doux, ajouter la pomme, puis le sucre.
Cuire jusqu'à ce qu'elle soit fondante.
Prenons la marinade...Verser le porc, cuire pendant 30 minutes à feu doux.
Il doit être cuit et tendre.
Déglacer la poêle avec l'eau, porter à ébullition
Prenons la pomme...Ajouter la pomme, les légumes.
Rectifier l'assaisonnement.
Réserver au chaud.
Préparons la cuisson du riz...Cuire le riz dans l'eau salée bouillante (sinon à la Réunion avec l'auto-cuiseur à la vapeur)
Le riz est cuit, lorsque l'eau a été absorbée par le riz.
Ajouter hors du feu, la crème fraîche.
Présentons le riz...Si vous désirez présenter votre riz, remplissez un petit récipient de verre de riz, égalisez le dessus au couteau.
Renversez-le sur votre assiette de service.
Garnir en couronne avec la préparation.
Décorer de pluches de persil.
Dresser votre plat et servir aussitôt.
La difficulté de cette recette est l'utilisation de plusieurs récipients pour des cuissons différentes (2 poêles, 2 casseroles) donc une vigilance sans défaut !
Surveillance de la pomme pour éviter une caramélisation néfaste, ainsi que les légumes et retirer le riz dès que toute l'eau est absorbée.
Le résultat vaut largement le travail demandé !
Bon appétit !
Bonne soirée, faites de beaux rêves, bonne semaine pleine de bonheur, de douceur, que tous vos souhaits se réalisent et de gros bisous et à lundi prochain pour un nouveau message ! chat alors !