PATAGONIE (3/4) - MERCI - LES VÉHICULES DE LA VIE - WOK DE POULET AUX MANGUES
Coucou mes amies (is). Bienvenue dans mon univers.
Pour commencer et pour vous mettre dans l'ambiance et je veux vous voir danser lol !, je vous mets une jolie chanson de CASSIYA (île Maurice, ll est l’un des groupes mauriciens les plus appréciés de La Réunion) , plusieurs d'entre vous ont beaucoup aimé (comme moi) alors voilà une autre chanson
J'espère que vous allez toutes et tous bien et je vous souhaite une délicieuse semaine et bienvenue sur mon message de ce jour, on continue avec la Patagonie (3/4) en photos et histoire. La suite de mon message je vous laisse découvrir. Je vous remercie mille fois pour vos visites et gentils commentaires, la blogosphère est une belle famille, j'ai fait des rencontres magnifiques aussi bien virtuelles que réelles, quel bonheur de vous connaître et partager avec vous des photos, des sujets divers, des recettes, des blagues etc..... et merci aussi pour les beaux cadeaux, jolies cartes que j'ai reçu d'amies sans blog et avec blog. Merci pour tout.
De jolies vues
C'est un renard..............ou un loup ? (loup loup où es-tu ! m'entends-tu !)
Tout compte fait çà ressemble plutôt à un renard, qu'en pensez-vous ?
Que c'est beau ! mais je sais pas pourquoi, j'ai l'impression que l'eau est froide !
La petite maison dans la prairie !
Un village
Côté droit maisons rouges et côté gauche maisons vertes
Les petites maisons de toutes les couleurs !
Les mammifères de Patagonie (une partie)
Le Guanaco
Faune autochtone de la région. C’est fréquent de les voir transiter près des routes ou sur les chemins. Une petite tête, de grands yeux, une épaisse fourrure avec de longs poils roux et le ventre blanc sont les caractéristiques premières du Guanaco. Il mesure environ 1 mètre 10 au garrot et peut atteindre 100 kg pour les mâles.
On peut s’en approcher mais face au danger, ils fuient rapidement en sautant et en zigzagant.
Le guanaco est un camélidé sauvage présent en Amérique du Sud. Apparenté au lama il n’a pas été domestiqué, contrairement à ce dernier.
Montant rarement à plus de 3 000 mètres d’altitude, on le rencontre du Pérou méridional à la Terre de Feu ; actuellement il est plus répandu en Patagonie où il vit généralement en petits groupes d’une vingtaine d’individus conduits par un mâle dominant. Les principaux prédateurs naturels du guanaco sont le puma et pour les jeunes animaux, le condor. Cependant l’homme exterminant ces animaux pour leur fourrure de qualité constitue l’ennemi le plus redoutable.
La population totale des guanacos est encore estimée entre 400 et 600 000 individus.
Le lièvre de Patagonie ou Mara
Le mara ou lièvre de Patagonie (Dolichotis patagonum), appelé aussi parfois lièvre des pampas, est un rongeur de la famille des Caviidé (comme les cochons d’Inde), bien que son apparence rappelle celle du lièvre.
Cette espèce est classée dans la Liste rouge de l’UICN comme « Quasi menacé ».
Après le capybara et le castor, le mara est le troisième plus gros rongeur vivant.
Cet animal est naturellement présent en Argentine.
Le mara ou lièvre de Patagonie (Dolichotus patagonum), est l’un des rares mammifères restant toutes sa vie en couple monogame. L’un des partenaires guette le danger, pendant que l’autre mange. Les couples interagissent rarement, mais ils ont un terrier commun pour tous leurs petits, nourris chaque jour par leurs parents respectifs.
Le colocolo ou monito del monte ou le dromiciops
On ne connaît pas avec précision sa distribution géographique. Mais on sait qu’on le trouve dans les bois humides du sud du Chili, entre les 36° et 43° degrés de latitude sud, dans l’Isla Grande de Chiloé, dans la Cordillère de la côte chilienne, dans la vallée centrale chilienne et dans la Cordillère des Andes. Il habite aussi dans certaines régions de l’Argentine toute proche, plus précisément dans l’ouest des provinces de Neuquén, de Río Negro et de Chubut, dans les zones proches des parcs nationaux du lac Nahuel Huapi et du volcan Lanín.
Le dromiciops ou colocolo est à peine plus grand qu’une souris commune ; il atteint 13 cm de long, auxquels il faut ajouter quelques centimètres supplémentaires pour sa queue préhensile. Il peut peser jusque 40 grammes. Il a un pelage dense et doux, de couleur brune grisâtre ou baie, avec la partie ventrale blanchâtre ; il y a des franges obscures sur les épaules et les flancs, et des taches noires autour des yeux. Les oreilles sont arrondies, courtes et velues. Il a le museau très pointu et un pouce opposable. Son corps est bien adapté au froid. Il habite des zones boisées dans des nids faits de feuilles de quila ; il se nourrit de pulpe végétale, de semences et de larves d’insectes. C’est un animal nocturne, et un excellent grimpeur.
Pendant l’hiver, il entre en hibernation, raison pour laquelle il accumule en automne de la graisse qui se dépose dans sa queue en vue de suffire à tout l’hiver ; son métabolisme rapide lui permet d’accumuler rapidement des réserves, doublant son poids en une seule semaine, si les conditions sont favorables. On le trouve en couple lors du printemps austral. Les mères mettent bas de un à quatre petits, qui restent dans la poche marsupiale jusqu’à leur complet développement. Les deux sexes atteignent la maturité vers deux ans, et restent en contact étroit avec les parents jusqu’à ce qu’ils aient atteint cet âge là.
Renard de Magellan ou culpeo
C’est le second plus grand canidé vivant d’Amérique du Sud, seulement dépassé par le loup à crinière.
Il ressemble au renard roux avec sa tête et ses pattes rougeâtres. Le ventre, le cou et la gueule sont blancs et le pelage de son dos est gris rayé de noir. La queue est abondamment pourvue de poils gris qui deviennent noirs à son extrémité.
Il habite dans les prairies et les bois caducifoliés de Terre de Feu, de Patagonie et des Andes, parvenant au nord jusqu’en Équateur. Il se nourrit de rongeurs, de lapins, d’oiseaux, de lézards, et, dans une moindre mesure de charognes.
Dans certaines zones très peuplées il attaque des troupeaux d’ovins, raison pour laquelle il fut durement pourchassé par les éleveurs de bétail qui l’abattirent ou empoisonnèrent des charognes. Il est de ce fait devenu rare dans certaines régions et dans d’autres, il fut exterminé jusqu’à sa disparition.
Le pudu du sud ou Pudu puda
Le pudu du Sud, est le plus petit cervidé du monde. Son habitat originel est la forêt humide des zones tempérées d’Argentine et du Chili. Déjà exterminée en Argentine, cette espèce est actuellement menacée de disparaître.
Le corps est ramassé avec de solides pattes courtes, une queue, des oreilles et des yeux de taille réduite. La longueur totale du corps d’un adulte fait entre 60 et 85 cm avec une hauteur au garrot de 25 à 43 cm. Cela fait de lui le plus petit des cervidés.
Il a une fourrure aux poils durs et relativement longs, dégradés du brun au roux vers les extrémités. Les mâles ont de courtes cornes pointues d’une dizaine de centimètres. Après une gestation d’environ 200 jours, la mère donne naissance à un seul petit. Il mesure alors 15 cm de haut. Il atteindra la taille adulte après 3 mois. Le petit pudu a deux rangs de taches claires sur le dos. Le pudu est un animal nocturne qui se nourrit surtout d’algues (fucus). Dans leurs forêts, les Pudu puda ont un court été sec et un long hiver humide. Ils se cachent des prédateurs dans les sous-bois et les forêts de bambous, jusqu’à 3 200 m d’altitude.
On le rencontre au Sud du Chili, à l’île Chiloe. Il a disparu d’Argentine suite à une chasse excessive…
Merci à ma gentille Perle Val qui m'a envoyé deux jolies cartes avec une jolie perle bague, merci mille fois ma jolie fée Val et son beau blog :
Désolée ma photo est floue ! çà brille et c'est joli !
Un peu d'humour çà fait du bien ih ih ih !!!!!!!!! MDR ! PTDR !
LES VEHICULES DE LA VIE
Avec ceci en tête, je me suis acheté un nouveau scooter.
Je voulais quelque chose qui était commode concernant l'essence et qui pouvait aussi me transporter au magasin et aux alentours de la ville. Ceci semblait rejoindre tous mes besoins. Je l'aime !
Rappelez-vous :
Les retraités sont précieux :
Nous sommes plus précieux que n'importe quelle nouvelle génération :
<< Nous avons de l'argent dans les cheveux.
Nous avons de l'or dans les dents.
Nous avons des pierres dans les reins.
Nous avons du plomb dans les pieds et...
Nous sommes bourrés de gaz naturel quotidiennement !
Et si on terminait par une petite recette, on est plus léger maintenant ih ih ih !!!!!
Wok de poulet aux mangues
1 WOK
CREME DE COCO
Pour 6 personnes :
1 poulet découpé en 8 morceaux
3 mangues
2 oignons rouges
2 gousses d'ail
1 bouillon de volaille dilué dans 30 cl d'eau
15 cl de crème de coco
4 cuillères à soupe d'huile d'olive
1 cuillère à café de curcuma
1/2 cuillères à café de cannelle
1/2 cuillère à café de cumin
1/2 bouquet de coriandre
Sel, poivre.
Préparation : 30 mn
Cuisson : 90 mn
Temps total : 120 mn
1) Faites chauffer l'huile dans un wok. Remuez avec une cuillère en bois et mettez les morceaux de poulet à dorer à feu vif.
2) Pelez les oignons et coupez-les. Ajoutez le poulet dans le wok avec les épices et l'ail haché. Salez, poivrez et ajoutez le bouillon de volaille. Puis laissez cuire 30 minutes à feu doux couvert.
3) Pendant ce temps, pelez les mangues puis coupez-les en tranches en tournant autour du noyau central. Ajoutez-les dans le wok après 30 minutes de cuisson. Couvrez à nouveau et poursuivez la cuisson durant 1 heure.
4) En fin de cuisson, ajoutez 15 cl de crème de coco, et saupoudrez de coriandre avant de servir.
BON APPETIT !
Voilà c'est terminé pour ce jour, j'espère que cela vous a plu. Que votre semaine soit belle, douce, ensoleillée, pleine de bonheur. A bientôt ! Bisous.